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« Qui n'a jamais rêvé de pouvoir manipuler des détails de sa vie comme on manipule aujourd'hui les images sur des logiciels tels que Photoshop? Qui n'a jamais songé à faire "pomme z" après avoir cassé un verre? C'est suite à ce genre de réflexion que j'ai créé cette série d'assiettes ». C’est ce que Todd Borka, le créateur des « iPlate », explique.
« Ce sont des clins d'œil, pour les utilisateurs des logiciels d’Adobe. Ce sont des détournements de codes facilement reconnaissables par leurs utilisateurs. Je pense que l’on a tous quelqu’un autour de nous qui se reconnaîtra parfaitement dans ce genre de petit cadeau. Ainsi vous pourrez tenter d’importer directement votre steak de votre frigo jusqu'à votre assiette, changer la teinte de votre poisson ou gommer les choux de Bruxelles ! ».
Les assiettes en porcelaine mesurent 23,5 cm de diamètre. La méthode d’impression est la sérigraphie directe sur le support, qui apporte précision et finesse du résultat. L’impression tient bien au lavage, c’est important ! Elles sont disponibles (http://fr.ulule.com/iplate/) en quatre versions différentes : iPlate « Import Food », iPlate « Edit Food », iPlate « Image Size » et iPlate « Ctrl Z ».
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Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.