La Machine à voyager Voyages SNCF DDB Paris Pleix voyages-sncf.com
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Réalisée par l’agence DDB Paris et le collectif Pleix, La Machine à voyager est, aux premiers abords, une inquiétante installation publicitaire située sur la place du Palais Royal. Elle peut s’avérer cependant pleine de surprises…
Un étrange cube noir doté d’un seul bouton rouge, sans indication aucune, en plein milieu de la place du Palais Royal à Paris. Les plus courageux des passants auront peut être la chance de gagner, dans l’euphorie la plus totale, un voyage pour la destination de leur choix. Tel est le concept imaginé par l’agence DDB Paris et le collectif Pleix pour le compte de l’agence de voyages de la SNCF, Voyages-sncf.com. Les auteurs de cette campagne n’ont pas hésité à jouer sur le caractère hostile du cube noir en pleine voie publique, ce qui suscite à la fois la curiosité et la méfiance des passants, mais qui s’avère finalement être une boite à très bonne surprise pour les plus téméraires. Une campagne simple mais efficace, soit un concept très réussi qui se poursuit sur un site Internet d’où l’on peut également tenter sa chance : http://machine-a-voyager.voyages-sncf.com.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.