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Déjà engagé avec le format WebM pour la vidéo sur le web, Google continue et propose désormais WebP, un format d’image pour le web cette fois-ci. Il s’agit de remplacer le format JPEG, jugé trop lourd. Google continue ses efforts pour « améliorer » le web, et le rendre plus accessible, et donc plus rapide. Ce n’est donc pas un hasard si le géant de la recherche tente d’imposer un nouveau type de format d’images pour succéder au JPEG. Après le format WebM pour les vidéos, c’est donc WebP qui est lancé sur le devant de la scène. Google expliqueque « WebP est une méthode de compression avec perte qui peut être utilisé sur des images photographiques. Le degré de compression est réglable de telle sorte qu'un utilisateur peut choisir le compromis entre la taille du fichier et la qualité d'image ». WebP est aussi basé sur un container RIFF. Toujours selon le blog Chromium, les images et photographies représentent 65% du chargement des pages web actuellement. Ce qui peut naturellement entrainer une baisse de la rapidité du web. « Nos équipes ont travaillé sur la compression des images », continue Google. « Nous utilisons donc un compresseur basé sur le codec VP8 que Google a passé en open source en mai dernier ». Et pour juger ses efforts, Google a sélectionné au hasard un million de pages web, principalement avec des images JPEG, mais aussi PNG et GIF. Et « nous les avons ré-encodées avec WebP sans perte de qualité. Ceci aboutit sur une réduction du poids des images de 39% ». Voici quelques exemples :
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.