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Adobe a mis en ligne un « pack HTML5 », qui fournit donc le support de la technologie HTML5 et de CSS3 dans Dreamweaver CS5. « Alors que les technologies HTML5 et CSS3 ne sont pas encore finalisées, cette extension pour Dreamweaver vous fournit le support pour les fonctionnalités qui sont déjà implémentées », explique Adobe sur son site http://labs.adobe.com. Le pack comprend également une nouvelle version du moteur WebKit, qui vous permet de pré-visualiser vos projets web, rendant l’outil idéal pour développer des applications iPad et iPhone ! Peut-être est-ce, en quelque sorte, la réponse d’Adobe à Steve Jobs, qui critiquait ouvertement Flash récemment… En tout cas, cela coïncide avec les propos de Kevin Lynch, le responsable produit d’Adobe, qui disait vouloir « créer le meilleur outil du monde pour concevoir avec HTML5 ». Peut-être que par ce biais, Adobe arrivera à maintenir ses outils sur la plateforme d’Apple. Entre autres, il faut aussi noter dans ce pack la possibilité de supporter les balises <video> et <audio> dans Live View de Dreamweaver. Vous pouvez voir toutes les améliorations et télécharger le pack en cliquant sur ce lien.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.