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Apple envisage d'utiliser son propre framework pour les applications Internet riches (RIA). Il est baptisé Gianduia, et le constructeur devrait apporter plus d’informations à son sujet cet été. L’année dernière lors de la WOWODC (World of WebObjects Developer Conference), Apple avait présenté son projet Gianduia. Cette année, le constructeur devrait profiter de l’édition 2010 du WOWODC et de sa WWDC (Worldwide Developer Conference) pour lever le voile sur celui-ci. Gianduia serait, selon AppleInsider, un concentré de technologies comprenant Cocoa (avec CoreData) et WebObjects, écrit en langage JavaScript. Concrètement, Gianduia serait utilisé en tant qu’environnement de développement pour la création d’applications internet riches (RIA), sans utiliser de plugins sur le navigateur comme Flash ou Silverlight. Apple veut démontrer qu’il est possible d’utiliser des applications web sophistiquées en utilisant uniquement les standards du web, et donc sans passer par des applications tierces. La section Retail du site d’Apple, la réservation des rendez-vous One-to-One ou du Genius Bar du site d’Apple utilisent d’ailleurs déjà Gianduia.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.