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En connectant le périphérique à un logiciel de CAO, il devient possible de fabriquer des objets à la demande. Commercialisés depuis quelques temps aux Etats-Unis, les imprimantes 3D Stratasys seront commercialisées en France ainsi que dans d’autre pays d’Europe à partir du mois de mai prochain. Les imprimantes « 3D » s’appuient sur la technologie jet d’encre ainsi que plusieurs autres techniques pour imprimer et façonner un objet couche après couche. Ce type de matériel peut s’avérer particulièrement utile pour des prototypes qu’il devient possible de visualiser intégralement avant de les fabriquer à l’unité, ce qui coûte beaucoup plus cher. Dès lors, il devient possible de fabriquer – « d’imprimer »- des objets 3D en plastique, puis de les assembler pour réaliser un prototype complet. Les imprimantes peuvent être reliées directement aux principaux logiciels de CAO. La vidéo ci dessous (en anglais) montre le processus, assez impressionnant, de fabrication. Petite précision. La bêbête est de taille conséquente et n’est pas encore destinée à une clientèle de particuliers. Mais dans quelques années, pourquoi pas ?
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.