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Imaginez un peu : vous vous promenez dans la rue et là, la couleur d’une tomate sur un étalage, éclairée par le soleil, vous interpelle. L’image est magnifique et vous aimeriez tellement pouvoir reprendre cette couleur pour l’incorporer à l’une de vos créations. Rassurez-vous : ce rêve est désormais réalité grâce à The Scribble Pen.
Le principe est exactement celui-ci : vous « sélectionnez » une couleur en approchant le stylo, qui l’enregistre, puis vous la restitue sur votre logiciel d’édition préféré. Comme cela fonctionne-t-il donc ? Le Scribble Pen possède un capteur RGB 16-bit capable de comprendre 16 millions de tonalités différentes.
Il possède 1 Go de stockage capable d’enregistrer 100 000 couleurs. De plus, il est équipé d’un port microUSB qui vous permet de relier à un ordinateur pour importer les couleurs. Pour le moment, le Scribble Pen est en précommande depuis le site officiel.
Il existe en 2 versions : Scribble Ink (150 dollars) ou Scribble Stylus (80 dollars).
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.