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Deviantart est devenu en quelques années une mine d’or pour les fans de séries, de films et de jeux vidéo. Les fan arts y foisonnent, et l’on y relève parfois des perles de créativité et de talents. Game of Thrones ne déroge pas à cette règle : des jeux de cartes aux fonds d’écran, en passant par des œuvres « minimalistes », tous les personnages (quoique l’on puisse noter une certaine préférence pour Hodor), tous les lieux emblématiques des livres et de la série y sont représentés.
Ainsi, deux artistes brésiliens, Fernando Mendonça et Anderson Mahanski ont adapté les héros de GOT à Disney. On retrouve bien le coup de crayon et la colorisation des célèbres dessins animés et les protagonistes reprennent les traits des acteurs qui les interprètent. On reconnaîtra ainsi Daenerys Targaryen (quant au dragon… évitons les spoils), Jon Snow et Ghost, plus joueur que jamais, Bran et Hodor, Tyrion et enfin Cersei Lannister.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.