Dernières News à la Une :
Oculus VR racheté par Facebook, cela n’empêche pas la concurrence de continuer d’avancer ! La preuve avec Virtuix, qui vient de boucler une levée de fonds de 3 millions de dollars. La somme sera utilisée pour renforcer les équipes, développer la capacité de production et le réseau de distribution.
Le produit phare de Virtuix est baptisé Omni : c’est un tapis sur lequel le joueur se tient debout et parcourt un univers virtuel, tout en s'équipant d’un casque. La démonstration en situation réelle (ici sur Borderlands 2) est assez bluffante et plus explicite qu’un long discours :
L’appareil peut s’incliner, et le joueur chaussé de patins glissants court, marche, tourne, sans jamais tomber grâce à la rambarde de protection. Le jeu virtuel en situation n’est donc plus un doux rêve, mais bel et bien une réalité.
Virtuix affirme avoir déjà reçu plus de 3 000 précommandes de son appareil, à 499 dollars l’unité. Les commandes seront honorées d’ici septembre prochain.
A lire aussi...
- Hololens : la réalité virtuelle en cubes
- ITA : un nouveau consortium pour la réalité virtuelle
Les dossiers de Créanum
[Lire le dossier...]
Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.