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« The Echolilia Series » est une série de photographies prises par le photographe Timothy Archibald, pendant 3 ans. Durant toute cette période, il a immortalisé son fils, autiste, Eli, dans de nombreuses situations propres aux personnes atteintes de ce trouble. Les clichés sont aussi puissants qu’émouvants. « Afin de garder un certain contrôle de la situation, j’ai commencé à le photographier pendant les moments où nous étions seuls tous les deux », explique Timothy Archibald.
Il continue : « Il est difficile de faire faire quelque chose à un enfant autiste qui n’en a pas envie. Faire des photos de lui seul ne l’intéressait pas. Mais en collaborant avec moi, en suggérant des poses ou des idées de la structure de la photo de lui-même, il a commencé à s’intéresser. C’est ce qui a déclenché cette série de photos ».
Série qui a d’ailleurs le mérite de figer les instants particuliers dans la vie des personnes autistes ; comme leur besoin d’isolement. « Il n’est pas parfait mais la nature ne l’est pas non plus », explique encore Timothy Archibald.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.