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A moins d’un mois de la nouvelle année, il serait temps de se mettre à chercher des cadeaux, pour vous ou pour les autres. Et en voici une, de bonne idée : Typodarium, sous forme de calendrier, et qui vous propose quotidiennement de découvrir une nouvelle typographie.
Sur chaque page, vous retrouvez donc une typographie différente : 365 créations de 232 designers de 26 pays différents. Chacune des typographies dispose de ses propres informations : son créateur, où la trouver, etc. Elles sont affichées sur le recto de la page et mises en condition sur le verso. De quoi se faire une idée donc…
C’est pour la sixième année de suite que paraît ce Typodarium ; une initiative lancée par Lars Harmsen (MAGMA Brand Design) and Raban Ruddigkeit (+ Ruddigkeit). En vente, entre autres, au MoMa de New-York, vous pourrez aussi trouver ce calendrier en cliquant sur ce lien, sur le shop Slanted.de.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.