- Dune, la saga de science fiction imaginée par l’auteur Franck Herbert, a connu de nombreuses déclinaisons que ce soit en films ou en jeux vidéos. Ces réinterprétations ont donné lieu à de nombreuses variations autour de l’univers d’Arrakis, la planète désertique qui sert de décor à l’histoire, mais
l’artiste John Schoenherr peut se vanter d’être le seul artiste dont les dessins ont été validés par l’auteur lui même. Le résultat vaut le coup d’œil même si les grandes lignes graphiques posées par les films notamment restent similaires.
- L’iconographie est un art délicat. On a beaucoup parlé ces dernières semaines de la réutilisation de l’image du petit Gregory dans un bandeau publicitaire du festival de Montreux. Mais quotidiennement on trouve des images d’illustrations tellement inappropriées qu’elles en deviennent hilarantes, voire dérangeantes. Et évidemment, il y a un tumblr pour cela.
- La revue Etapes, consacrée aux arts graphiques, a lancé un concours destiné à ses lecteurs. Le thème est l’autoportrait, un sujet potentiellement ennuyeux, mais la créativité des participants permet d’éviter cet écueil. Enfin, la plupart du temps.
- Peut-être vous souvenez vous de l’affaire du Christ défiguré de l’église de Borja. Pour ceux qui auraient raté cette histoire : la restauration d’un portrait du christ avait été confiée à une octogénaire locale, visiblement bien intentionnée mais le résultat final fut jugé tellement ridicule qu’il devint rapidement la risée de tout Internet. Mais dans un surprenant retournement de situation, la popularité nouvelle de l’icône a attiré une foule de touristes. Et l’artiste en herbe s’apprête à toucher des droits sur les produits dérivés de son « œuvre ».
- Les princesses de Disney ont été déclinées à toutes les sauces, mais l’artiste Mike V. leur donne un nouveau souffle en les dessinant façon jeu de combat Capcom (pensez Street Fighter 3, on retrouve d’ailleurs beaucoup de similitudes.) L’idéal maintenant ? Un jeu de combat permettant d’opposer Jasmine et Blanche neige dans des affrontements en 3 round.
- Une interview de Lisa Anne Frank, la graphiste derrière la marque éponyme qui inonde les petites filles américaines de produits couverts de rose bonbon, de fleurs et de paillettes. L’histoire d’une fille devenue riche en dessinant des poneys, ça laisse songeur.
- Aujourd’hui, il y a une application pour tout et n’importe quoi. Emojify en est l’exemple parfait puisque cette application vous permet de transformer une photo en Ascii art à base d’Emoji. Chaque pixel de l’image est transformé en emoji, des pictogrammes très populaires au japon. Ca ne sert à rien, mais on est content que cela existe.
- Beaucoup plus utile, cette application permet de simuler en quelques clics une interface pour iPhone, à partir de mockup réalisés sous Photoshop par exemple. Elle permet même de rapidement mettre en place des interactions basiques, afin de faire un premier prototype tangible pour montrer à d’éventuels clients.
- Si vous vous torturez à chaque projet pour savoir si une application ou un site en responsive design sont les plus appropriés, cette infographie fait le point sur les avantages et les inconvénients de chaque méthode. Pas de solution miracle, mais c’est toujours bon de savoir où l’on met les pieds.
- Le Doodle de Google est aujourd’hui consacré à Debussy, à l’occasion du 151e anniversaire du compositeur. Google propose une chouette animation traversant le Paris du XIXe accompagné par le Clair de Lune, une de ses œuvres les plus connus. On pourrait vous mettre le lien vers la page d’accueil de Google, mais ce serait un peu désobligeant non ?
- Enfin, Time, la bande dessinée au long cours initiée par XKCD il y a quelques mois a enfin trouvé sa conclusion. Le principe ? Toutes les heures environ, l’auteur Randall Monroe ajoutait mettait en ligne une nouvelle image faisant avancer l’histoire, à la façon d’un stop motion ralenti à l’extrême. Pour en voir le bout, il a fallu attendre plusieurs mois et rafraîchir la page plusieurs fois par jour. L’histoire décrite par ce webcomic s’est révélée d’une ampleur insoupçonnée, sur laquelle l’auteur s’est expliqué dans les pages de Wired. Il suffit de cliquer sur l’image du site pour accéder à une version navigable de Time.