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Conçu pour les particuliers qui souhaitent se créer leur propre « cloud » (même si le terme est exagéré), le dernier né de Synology se prêtera également volontiers aux besoins d’une petite entreprise par exemple. Il propose deux emplacements pour loger des disques durs (3.5" ou 2.5" SATA) et des vitesses de transfert qui ont été revues à la hausse : lecture et d’écriture dépassant respectivement 100 Mo/s et 70 Mo/s, assure le constructeur.
Le processeur intégré (Marvell Armada 370, sur un cœur ARM) bénéficie désormais d’une unité de calcul en virgule flottante. Comptez aussi 512 Mo de RAM DDR3 mais une performance énergétique annoncée relativement basse : 3,65 watts lorsque le disque dur passe en mode hibernation, et pas plus de 20 watts en fonctionnement normal. Le DS213j peut se démarrer à distance via LAN/WAN et peut également accéder à des fonctions de programmation de la mise sous tension/hors tension. Comptez encore 2 ports USB et 1 port Gigabit.
Comme les NAS de la gamme Synology, il semble être très silencieux, ce que confirme le constructeur, qui mise toujours sur DiskStation Manager (DSM) 4.2 pour proposer aux utilisateurs de nombreuses applications pratiques comme Surveillance Station pour gérer des caméras IP ou iTunes Server, pour accéder à sa bibliothèque à distance. Il est disponible dès à présent pour 150 euros HT, sans les disques qui restent à la charge de l'utilisateur.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.