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A 22 ans, Noell S. Oszvald, qui n’a qu’un an d’expérience dans la photo, a encore la vie devant elle pour s’immortaliser. Jusqu’aujourd’hui, c’est probablement ce qu’elle sait faire de mieux, étant donné la qualité des clichés qu’elle présente sur sa galerie Flickr. Cette jeune hongroise dispose déjà de son propre univers, relativement noir, presque lugubre parfois.
Toute en noir et blanc, cette série est troublante. Noell S. Oszvald n’aime pas la couleur, qu’elle trouve trop distrayante. « Je ressens la même chose pour les vêtements et tout ce qui concerne l’apparence, ce pourquoi j’aime réduire mes photos à des formes, une composition et du contenu ». Finalement très simple, épurée à l’image de ses photos, elle ne souhaite pas commenter ses clichés. « Je trouve intéressant de lire les interprétations des autres concernant mon travail », s’amuse-t-elle.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.