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C’est avec les gammes « Intuos » ou « Cintiq », entre autres, que Wacom est devenu très connu auprès d’une population de créatif. Ces tablettes sont unanimement reconnues comme les meilleures du marché. Depuis quelques temps, Wacom se diversifie et propose notamment des stylets, dont un modèle adapté (Bamboo Stylus Solo) à la tablette d’Apple notamment, accompagné d’une application (Bamboo Paper).
Wacom a donc su prendre le virage du numérique et s’adapter au marché, comme l’a probablement remarqué Samsung, qui a investi 58 millions de dollars dans le japonais ; une somme qui lui permet de devenir actionnaire, minoritaire toutefois, à 5%.
Cet investissement semble signifier que le sud-coréen croit encore à l’essor des stylets numériques, bien qu’ils soient de plus en plus tombés en désuétude. Quoi que… puisque Samsung continue à en proposer et il n’est pas rare d’en voir certains utiliser un stylet sur un Galaxy Note par exemple.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.