Dernières News à la Une :
« Pour créer l’illusion du réel, Jean-François Rauzier a d’abord dû se confronter à toutes les limites qu’offre le matériel photographique et technologique. C’est dans la juxtaposition, la duplication, la torsion… des images sous Photoshop qu’il trouve le moyen de reproduire le plus fidèlement la vision humaine, générant un véritable puzzle numérique dont les pièces, détourées, « redessinées », se greffent au fur et à mesure au gré de l’imagination de l’artiste », peut-on lire sur le site du photographe, qui ajoute encore : « De cette technique naît une multitude de détails passionnants et insolites sur lesquels le spectateur peut s’attarder. Elle traduit une invitation au voyage intérieur, dans des univers oniriques, fantastiques et intemporels. Ces mondes sont peuplés de figures et de références issues du panthéon culturel de l’artiste ».
Peu de choses à ajouter à cette entrée en matière, si ce n’est que les clichés sont assez bluffants, surréalistes pour certains. « Un espèce de pouvoir absolu sur le monde », explique le photographe dans la vidéo ci-dessous. Visitez aussi le site de Jean-François Rauzier.
Digital Darkroom Segment - Jean-François Rauzier from Annenberg Space for Photography on Vimeo.
A lire aussi...
- Huawei : une photo prise avec le P9 ? Non avec un 5D Mark III
- FoldIO, le studio photo transportable pour smartphones !
- Photo : la surconsommation vue par Michaël Massart
- Photo : un porte-conteneurs géant redécoré par l’artiste JR
- Pub : Don’t Drive Drunk
Les dossiers de Créanum
[Lire le dossier...]
Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.