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L’application Photoshop Touch, disponible depuis février dernier, se pare d’une mise à jour en version 1.3. La principale nouveauté étant le support des écrans Retina du dernier iPad. « L’interface, le texte et virtuellement toutes les autres parties sont désormais plus nettes et propres. Ça n’a pas été une mince affaire que d’optimiser l’application pour les écrans Retina », explique Adobe. « Mais nous pensons que vous allez adorer le résultat », peut-on lire sur un blog de l’éditeur.
Mais ce n’est pas tout puisque « l’application fonctionne maintenant avec des images d’une résolution jusqu’à 12 millions de pixels » avec jusqu’à 16 calques. Attention : par défaut, la résolution maximale est de 4,2 millions de pixels. Une option que vous pouvez changer en vous rendant dans les préférences de l’application.
D’autres nouveautés sont aussi à mettre au crédit d’Adobe :
Adobe Photoshop Touch est disponible pour 7,99 euros sur l’Apple Store.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.