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On dirait bien que c’est la saison ! Tout d’abord, nous avons vu Facebook entrer en bourse la semaine dernière avec un succès pour le moins mitigé (pour l’instant en tout cas). La semaine dernière, nous apprenions aussi que le fonds d’investissement KKR a investi 150 millions de dollars dans la banque d’images en ligne Fotolia, créée par deux entrepreneurs français. Il obtient ainsi 50% du capital de l’entreprise, dont le siège est basé à New York.
C’est désormais au tour de l’américain Getty Images d’affoler les bourses, avec cette rumeur reprise par le Financial Times. Le journal reprend une information selon laquelle la société d'investissement Hellman & Friedman s’est rapprochée de banques conseils pour piloter une introduction en bourse de Getty Images. Une telle opération pourrait valoriser l’entreprise à 4 milliards de dollars.
Getty Images est spécialisé dans la prestation de photos et de vidéos auprès des entreprises non-médias. Toutefois, elle se distingue actuellement sur le marché de l’information presse, et se développe intelligemment via ses autres filiales plus spécialisées pour certaines populations.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.