Dernières News à la Une :
L’application qui fait un tabac sur les « Store » actuellement est Draw Something. Réalisée par OMGPOP (racheté récemment par Zynga), elle a été téléchargée plus de 50 millions de fois en 50 jours ! Son principe est simple : on vous donne un mot, que vous devez représenter en dessin à un internaute qui joue en même temps, et qui devra donc deviner ce que vous avez dessiné.
L’application existe en version gratuite et payante (1,59 euro). En revanche, elle n’existe qu’en anglais, ce qui peut être un peu gênant pour certains.
L’engouement est terrible pour cette application donc, et parmi les joueurs, certains meilleurs que d’autres se sont prêtés au jeu. Voici quelques exemples de créations réalisées sur Draw Something, et certaines sont assez bluffantes.
A lire aussi...
- Mise à jour majeure de Unity qui passe en v4.5
- PhonoPaper : dessinez votre partition et écoutez-la depuis un smartphone
- De la 2D à la 2D (en 8 bits) à la 3D (toujours en 8 bits)
- Instagram : bientôt une messagerie instantanée ?
- Google Coder : simplifier l’apprentissage du Web grâce à Raspberry Pi
Les dossiers de Créanum
[Lire le dossier...]
Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.