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Pixologic, l’éditeur de ZBrush, a mis le paquet pour la nouvelle version de son logiciel de sculpture 3D. Parmi les nouveautés : l'application directe de tissu musculaire sur les personnages. Il y a des éditeurs dont on entend moins parler que les géants du monde de la création numérique. ZBrush fait partie de ceux-là, mais il mériterait une plus grande notoriété. Déjà salué pour les performances de ses précédentes versions, le logiciel ZBrush est aujourd’hui disponible dans sa version 3.5, dernière du nom. Il semble d’ailleurs qu’une version 4.0 débarquera (très) prochainement. Parmi les nouveautés figurent les ZSpheres II notamment, qui permettent, en plus de pouvoir modéliser la forme globale d’un personnage, de créer directement du tissu musculaire que l’on applique sur les ZSpheres de base. Citons également les plug-ins GoZ pour jongler entre modélisations 3D entre ZBrush et les logiciels Maya, Modo et Cinema 4D.
ZBrush 3.5 est disponible sur le site de Pixologic pour environ 600 dollars. Retrouvez un test complet de cette nouvelle version dans le numéro 139 du magazine CréaNum, disponible début novembre.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.