Dernières News à la Une :
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Suite à la mise à jour 9.1 gratuite de QuarkXPress, les utilisateurs peuvent désormais profiter du nouveau composant App Studio, intégré pour faciliter la création d’applications personnalisées, mais aussi leur distribution par exemple.
Wacom vient de présenter son dernier né baptisé « Inkling ». Concrètement, vous dessinez votre croquis à la main grâce à l’objet, et vous le transférez directement sur votre ordinateur. Inkling va même encore plus loin… Explications.
Une publicité pour L’Oréal, avec Julia Roberts en guest star, a été censurée au Royaume-Uni pour utilisation abusive de Photoshop. Vexé mais pas abattue, la marque française se moque de l’utilisation excessive du logiciel dans une campagne pour sa gamme Men Expert !
Adobe a mis à disposition, en version bêta, un outil baptisé MUSE qui propose la création d’un site sans taper une ligne de code, en WYSIWYG (What You See Is What You Get).
Microsoft a publié le pack de 120 codecs « Camera Codec Pack », pour Windows 7 et Windows Vista (SP2). Celui-ci apporte donc le support des formats bruts RAW de 120 modèles d’appareils photo.
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Ulule, Kickstarter, KissKiss Bankbank : au cours des dernières années, les plateformes de financement participatif (ou crowdfunding en anglais) ont vu leur popularité croître au fil des projets qui se finançaient grâce à ce procédé nouveau. Inspiré des principes du microcredit, ces systèmes permettent de lever des fonds pour un projet ou une entreprises sans forcement passer par le système bancaire. Une aubaine pour les créatifs, mais il convient avant tout de savoir ou l’on met les pieds et ce qu’un tel projet représente. Contrairement à l’impression que ces plateformes peuvent donner au premier abord, il ne suffit pas de « vendre du rêve » sur une page Web pour pouvoir soudainement réaliser ses rêves les plus fous. Un projet de financement participatif se prépare et s’organise.
Le coloriste est une profession souvent méconnue dans le monde de la bande dessinée, mais n’en reste pas moins un incontournable dans beaucoup de projets de bande dessinée. Choisi par la maison d’édition ou suggéré par l’auteur avec qui il doit être capable de s’entendre, le coloriste reste souvent dans l’ombre, mais son travail est déterminant. A mi chemin entre les auteurs, les maisons d'éditions et les imprimeurs, son métier lui demande des compétences nombreuses qu'il doit la plupart du temps apprendre par lui-même. Nous avons interrogé deux coloristes sur leur métier, l’évolution des pratiques et les problèmes qu’ils rencontrent au quotidien.