Véritable électron du Web, Gaëtan Weltzer est très actif sur
la grande toile, avec ses différents sites. C’est également un
passionné de création numérique, au sens large du terme,
sans compter un goût prononcé pour l’heroic-fantasy, ses
contrastes d’échelles et ses nombreuses références.
A 22 ans seulement, Gaëtan
Weltzer est une « figure »
du Web. Plus connu sous
son pseudonyme, Spartan,
il travaille dans une agence
de communication en tant
que web designer, mais occupe aussi le reste de
son temps en étant illustrateur freelance… Mais
pas que ! « Je suis un grand passionné de création
numérique au sens large, une passion intarissable
qui nourrit mon blog DesignSpartan.com. Je suis
aussi passionné par les jeux vidéo et le cinéma
depuis ma tendre enfance, ce qui ne manque pas
d’influencer mes travaux ! », explique-t-il.
Comme bon nombre d’artistes, Gaëtan Weltzer
n’a pas emprunté de cursus particulier dans l’illustration
ou le matte painting, mais a suivi des
études dans le domaine du multimédia (DUT SRC
puis Licence Pro ATC). « Ayant toujours été attiré
par le graphisme et les nouvelles technologies
mais c’est en autodidacte que je me suis formé.
La passion est dans mon cas un meilleur moteur
d’apprentissage que la théorie ou des exercices
imposés en classe ».
A la recherche de challenges en permanence, il
continue régulièrement d’apprendre de nouvelles
techniques et de s’entraîner sur ses logiciels
favoris. « Je pense que c’est ce qui me permet
de progresser », estime-t-il encore. Cette passion,
il la nourrit depuis son enfance, tout comme son
attirance pour l’heroic-fantasy d’ailleurs. « Ce
n’était pas grand-chose et cela me prenait plus
par période mais j’ai toujours adoré dessiné des
créatures bizarres. C’est quelque chose qui m’a
toujours démangé. Très vite l’heroic-fantasy m’a
passionné en me faisant vivre des quêtes extraordinaires
à travers les jeux vidéo ou le cinéma ».
Comme tant d’autres avant lui, il a un jour découvert
Photoshop et, petit à petit, il a mis « la barre
plus haute ».
« Finalement, j’ai rapidement atteint le niveau
pour écrire mes propres tutoriels et ai continué
à me fixer des objectifs. Cela a commencé par
le matte painting d’abord, discipline assez particulière
et très technique, puis j’ai découvert
les tablettes graphiques et je me suis essayé
au digital painting que je ne lâche plus non plus
depuis ! », continue-t-il. Ce qui explique pourquoi
cela l’a « poussé à ouvrir le site Living Tuts
(livingtuts.com) qui propose des tutoriels de
qualité en français ».